Coaching en séduction

Le mythe du coaching en séduction « intensif »


Sur le marché de la séduction, beaucoup de coachs promettent une métamorphose quasi-immédiate grâce à une formule de coaching qui empile quantité d’heures de pratique en un court laps de temps.

Par exemple : 15 heures de pratique en 1 week-end, ou 30 heure en 5 jours.

Je ne crois absolument pas en ce genre de coaching. Pour moi, c’est à la limite de l’escroquerie, vu le prix qu’ils coûtent.

La séduction est un processus lent ! On ne devient pas bon en quelques jours, seulement en faisant une centaine d’approches et en recevant une panoplie de techniques et conseils (même s’ils sont très bons).

  • Notre estime et perception de nous-même, nos états d’esprit et nos croyances, doivent changer !
  • Notre inconscient doit apprendre de nouveaux automatismes, habitudes et comportement.
  • Souvent, nous devons également travailler nos autres fondamentaux.

Vous vous en doutez surement, toutes ces choses-là nécessitent un travail qui demande des efforts, du temps, de la patience, et de la persévérance.

Ce n’est malheureusement pas seulement une question de quotas d’heures ou d’approches à faire. Vous allez passer par des phases de progressions rapide, mais aussi de stagnations et de doutes.

Alors, proposer des formules de coaching comme celles-ci, revient un peu à faire des coachings en musculation avec une quantité d’heures d’entrainement répartie dans un très court intervalle de temps, en vous laissant croire que vous aurez un physique de bodybuilder à la fin !

Coaching intensif = Beaucoup d’approches

En vérité, ce genre de coaching « industriel » ne veut souvent dire qu’une chose :  

Vous allez faire beaucoup, BEAUCOUP, d’approches, en quelques jours seulement.

Mais que vous fassiez une dizaine d’approches en une après-midi, ou une centaine en 3 jours d’affilés, ne change pas grand chose dans le meilleur des cas.

Vous allez obtenir quelques expériences positives de référence supplémentaire, et repartir avec une peur de l’approche plus réduite, mais seulement pour une courte période (la zone de confort reprendra du terrain ensuite, si vous ne pratiquez pas). C’est le mieux que vous pourrez en tirer !

Dans le pire des cas cependant, si un homme fait un coaching sans avoir les fondamentaux pour réussir tout de suite, l’approche de masse va tout bonnement le dégouter. Il repartira de son long coaching encore plus frustré, pessimiste, peut-être même un peu traumatisé, et plus pauvre de quelques centaines/milliers d’euros…

Pratiquer beaucoup plus… pour peu !

Mais restons dans l’hypothèse où la partie pratique du coaching se passe bien…

Qu’allez-vous en retirer, à faire 3 ou 4 fois plus d’approches ?

Est-ce que les heures supplémentaires vont totalement métamorphoser vos résultats auprès des femmes ?

Absolument pas !

Pour faire court, voici ce qui doit arriver au cours d’un bon coaching :

  • Vous allez assister à une bonne démo et des explications utiles du coach.
  • Vous allez dépasser votre peur de l’approche, plusieurs fois, et devenir (temporairement) plus à l’aise pour vous lancer.
  • Vous allez recevoir quelques conseils pertinents pour augmenter vos chances de repartir avec des numéros, ou pour obtenir un rendez-vous instantané. Mais, pour que vous puissiez assimiler les informations essentielles au fur et à mesure, vous n’allez pas tout apprendre d’un seul coup.
  • Vous allez obtenir quelques EPR.
  • Enfin, vous aurez quelques instructions a posteriori pour continuer à appliquer tous ces conseils appris lors du coaching pour votre vie de tous les jours, et en recevoir quelques autres pour gérer les autres phases (phone game et rendez-vous).

C’est ce à quoi vous devez vous attendre d’un coaching pratique.

Voici le scoop : si le coach fait bien son boulot, ces choses-là seront faites assez rapidement, sans doute dans les 3 ou 4 premières heures de coaching. Il n’y aura pas besoin de plus de temps !

  • Une bonne explication des bases et une démo prendra peut-être 30 minutes.
  • Avec l’appui du coach, en l’espace d’une heure vous aurez déjà fait au moins 3 ou 4 approches, ensuite vous serez capable d’aller vers les filles plus facilement sans être paralysé par la peur.
  • Le reste du temps vous servira à consolider votre impulsion du moment, améliorer un peu la qualité de votre pick-up, et prendre un ou plusieurs numéros qui vous serviront d’EPR pour plus tard.

Si vous avez les bases requises – une apparence pas trop affreuse, des compétences sociales correctes, un innergame au niveau, etc. – vous réussirez certainement à aborder et obtenir vos premiers numéros dans les toutes premières heures.

Si vous n’y arrivez pas, c’est probablement parce que vous n’en êtes pas encore capable ! Vous manquez de fondamentaux.

Dans ce cas, faire beaucoup plus d’approche ne servira pas à grand-chose, si ce n’est à vous prendre le risque de vous « cramer ».

Pour résumer, toutes ces heures EN PLUS n’auront pas grande utilité…

Les quelques premières heures du coaching vous apporteront au moins 80% de des bénéfices que peuvent apporter un coaching dans sa globalité. Le reste ne sera que de la pratique en rab, non pas totalement inutile, mais dérisoire (surtout pour le prix que cela coûte).

Et si vous n’avez pas les bases requises…

L’info la plus importante à prendre en considération c’est que, si vous n’êtes pas capable d’avoir du résultat durant ces quelques premières heures, c’est que vous ne devriez probablement pas faire de la pure pratique tout de suite.

Si vous n’êtes pas en mesure d’aborder, obtenir des retours positifs ou prendre des numéros en quelques heures, la plupart du temps, vous forcer à faire des dizaines et des dizaines d’approches supplémentaires ne vous apportera rien de positif.

Ce serait comme essayer de faire courir un marathon à mec qui n’en n’a pas les capacités physiques. Le mieux serait de lui dire : « écoute, commence d’abord par entrainement sur 10 Km, puis 20, etc., pour acquérir de l’endurance, jusqu’à ce tu puisses en faire 42 ».

De même, forcer un mec qui galère durant ses premières heures de pratique à en faire plus tout de suite, ne sert pas à grande chose.

Quand un mec fait plus d’une dizaine d’approches sans avoir aucun retour positif malgré l’appui du coach, c’est qu’il vaut mieux le renvoyer travailler ses fondamentaux. Cela devrait aussi faire partie du coaching : s’adapter à son coaché. Et il ne faut pas plus d’une heure pour lui donner des consignes pour améliorer ses fondamentaux.

C’est une question de régularité avant d’être une question de quantité

Faire une quantité astronomique d’approche en un court laps de temps :

  1. Ne fera pas disparaître votre peur de l’approche.

Grâce à l’impulsion du moment, votre peur diminuera, voire disparaîtra pendant quelques heures. Mais elle reviendra presque aussi vite qu’elle est partie.

Quelques jours après le coaching, vous ressentirez la même peur de l’approche, que vous ayez fait 10 approches en quelques heures, ou 100 en 3 jours d’affilées.

La peur de l’approche ne disparaît vraiment qu’avec l’habitude, pas grâce à un nombre astronomique d’approches en soi.

Vous avez LARGEMENT plus de chances de perdre une bonne partie de votre peur de l’approche en faisant 2-3 approches régulièrement, sur plusieurs mois, qu’en en faisant 10 fois plus, mais seulement quelques jours.

Quand j’ai démarré la musculation, le premier conseil que j’ai reçu c’était :

Ne fais pas d’entraînements LONGS, mais entraîne-toi RÉGULIÈREMENT.

C’est exactement la même chose pour la peur de l’approche : c’est principalement une question de régularité.

2. Un SEUL coaching pratique, peu importe sa durée, ne vous apprendra jamais à bien draguer !

Croyez-moi, même en passant de nombreuses heures sur le terrain, vous n’aurez qu’un bref aperçu de ce qu’est la drague !

A peine aurez-vous le temps d’assimiler ce que vous aurez appris, que de nouvelles interrogations, de nouvelles questions, vont apparaître.

Et, votre coaching étant terminé, on ne vous donnera aucune réponse (à moins de reprendre un coaching).

Lors d’un premier coaching, le fait de dépasser sa peur de l’approche pour la première fois créé une sorte d’euphorie.

A partir de là, en général, tout le reste du coaching devient du bonus…

Mais très vite cette euphorie retombe, et les VRAIES questions sur la drague commencent à arriver. La véritable phase d’apprentissage commence A CET INSTANT (pas avant) ! Malheureusement, le coaching sera déjà fini…   

Pourquoi un coaching « one shot » ne vous métamorphosera pas

Si le coaching ne peut pas vous faire incroyablement progresser du jour au lendemain, quelques soit les heures que vous passez avec votre coach, c’est parce que le changement mental chez l’homme est, et restera toujours, un processus lent.

C’est à cause de ce que l’on appelle l’Homéostasie.

Pour votre protection, votre inconscient est programmé pour vous faire maintenir une certaine constance dans vos actions, habitudes, croyances, peurs, etc. C’est notamment la raison pour laquelle nous avons tous une zone de confort. Autrement dit, tout ne sera pas « reprogrammé » en un week-end, mais lentement.

Votre mental est comme un muscle : un seul entraînement, peu importe sa longueur et son intensité, ne le rendra pas incroyablement plus fort.

Tout comme il vous faut des mois, voire des années pour développer des muscles volumineux, il faudra des mois (ou des années) pour développer un mental vraiment très bon.

Le rapport entre mental et résultat

La vérité, c’est que vous ne pouvez jamais avoir beaucoup mieux à l’extérieur que ce que vous pensez pouvoir obtenir et avoir à l’intérieur (mentalement).

Vos capacités sont limitées par ce que vous vous pensez être capable d’obtenir.

Et, si pendant des années vous avez eu des difficultés avec les femmes, avant de vous sentir capable d’obtenir de très bons résultats, il faut au préalable que :

(1) Vous soyez réellement capable d’en obtenir (=avoir le potentiel).

(2) Vous réussissiez à vous le prouver à de nombreuses reprises (en accumulant les EPR).

Vous n’obtiendrez pas plus que ce que vous pouvez obtenir

  • Même si vous faites un coaching d’une très longue durée.
  • Même si vous faites de l’approche en masse.

…Vous n’obtiendrez rien de plus que ce que à quoi vos fondamentaux et votre innergame vous donnent accès.

Si un mec est très costaud, peut-être pourra t’il porter 100 kg lors de sa toute première séance d’entraînement à la musculation. Parce qu’il a les bons fondamentaux !

Par contre, si c’est un gringalet de 50 kg, pensez-vous qu’il pourra faire la même chose dès sa première séance ? Ou même sa 10ème ?

Evidemment non ! Là encore, c’est une question de fondamentaux – en l’occurrence, une musculature et un gabarit pas assez important.

C’est la même chose en coaching :

Si un mec plutôt mignon, bien fringué, relativement confiant et à l’aise socialement, vient en coaching, il obtiendra facilement un numéro au bout de quelques tentatives…

Il m’est même déjà arrivé plusieurs fois durant mes coachings, qu’un coaché embrasse une inconnue qu’il avait rencontré quelques minutes avant.

Sans vouloir faire plus humble que je ne le suis déjà, le rôle de mon enseignement était minime :  je n’ai fait que lui  expliquer comment escalader, il a testé sur une fille intéressée, et ça a marché !

Cela a fonctionné parce qu’il s’agissait déjà d’hommes sociables, bien habillés, qui avaient un peu expérience dans la drague.

Ils étaient mentalement et fondamentalement déjà en mesure d’obtenir ces résultats.

Les quelques conseils/états d’esprit que je leur ai apporté en plus n’ont fait que leur permettre de matérialiser leur potentiel.

C’est d’ailleurs le VRAI rôle d’un coaching en général : matérialisé son potentiel, et aider à le développer davantage dans les mois/années qui suivent.

Le coaching permet de passer un petit palier (qui parait énorme tant qu’on ne l’a pas franchit), mais pas de se transformer radicalement.

Un homme avec de mauvais fondamentaux, à qui j’aurais donné exactement les mêmes conseils, n’aurait jamais été en mesure de reproduire la même chose.

Un coach n’est pas un magicien

Le coach ne vous donne pas de pouvoir magique, il vous aide simplement à révéler le potentiel qui sommeille en vous.

En coaching, on ne peut pas vraiment travailler votre innergame. On peut simplement vous donner des conseils pour vous permettre de le développer dans votre vie de tous les jours.

  • Comme un coach en musculation, je peux vous expliquer comment faire pour le développer durant les prochains mois, mais je ne peux pas le rendre parfait d’un seul coup. Vous avez besoin de temps pour ça.
  • Je peux aussi vous donner les astuces pratiques pour obtenir ce que vous pouvez déjà obtenir (même si vous n’en avez pas encore conscience). Mais je ne peux vous permettre de réussir quelque chose si vous n’avez pas déjà le mental et les compétences requises.

Si un jour vous souhaitez prendre un coaching, peu importe avec qui, ayez conscience de tout cela !

  • Un coaching intensif est inutile. Les bénéfices d’un coaching arrivent dans les toutes premières heures, après ce n’est qu’un « extra», assez coûteux.
  • Tous les conseils/astuces/états d’esprit ne vous donneront pas de résultat concrets et immédiats si vous n’avez pas les prérequis pour les appliquer ou les comprendre.
  • Aucun coach ne peut vous donner de méthode magique. Ni pour séduire les femmes à coup sûr, ni pour développer immédiatement des compétences ou des croyances que vous n’avez pas encore.

Un coaching peut vous aider, MAIS…

Il ne faut pas non plus être catégorique concernant le coaching.

Un coaching (court) peut vous aider.

Si vous démarrez :

  • Un coaching de quelques heures peut vous aider à vous faire mettre un premier pied dans la pratique.
  • Il peut vous débloquer un peu plus psychologiquement face l’approche (vous faire voir que c’est possible).
  • Il peut aussi vous donner quelques astuces pour briser la glace, gérer la conversation, demander le numéro.

Tout cela à condition que le coach en question soit bon.  Pas si c’est un automate qui fait aborder comme lui (sans réfléchir), ni un gars qui rabâche les techniques traditionnelles du Game.

Et, pour un même nombre d’heure qu’un coaching intensif, voire moins, un coaching récurrent (une succession de coachings courts sur le long terme) peut vous permettre de vous perfectionner :

(1) En vous laissant digérer les informations à chaque fois.

(2) En vous permettant de pratiquer de votre côté entre chaque coaching, pour acquérir et renforcer son impulsion, voir là où ça bloque et revenir à chaque fois avec des nouvelles interrogations/axes de progression à travailler.

(3) En conservant votre une motivation et en vous donnant une raison supplémentaire de pratiquer durant plusieurs mois, plutôt que de risquer de perdre l’envie et l’impulsion quelques semaines après un coaching « one shot », et ne rien assimiler du tout.

Le coaching « industriel » en séduction, tel qu’il est donné aujourd’hui – genre 5 élèves en même temps qui vont faire 15 heures de pratique en 3 jours pour 1000 € l’entrée – est une duperie.

C’est très bénéfique pour le coach, qui augmente son CA de 5000 € en un week-end. Mais cela l’est beaucoup moins pour le coaché…

Il est temps que l’on s’en rende compte, et que ça change ! 

À propos Chrys

Je suis l’auteur de plus de 350 articles sur la séduction. Je donne aussi des coachings et des consultations sur la drague en journée, la séduction et la gestion de relations.

22 plusieurs commentaires

  1. Une belle escroquerie que ces coachings intensifs 🙂
    Si on pouvait devenir des Casanovas en trois jours, ça se saurait.

    Rien qu’avec ton site, un total débutant a assez de matériel pour progresser par lui-même, peu importe son niveau.
    Un coaching sur le long-terme (disons 6 mois) aura au moins le mérite d’accompagner le coaché, de le tenir par la main et lui transmettre tout ce dont il a besoin pour continuer en solo par la suite.

    Sam

  2. Je serais ravi si le prochain articles concernait le sex friends

  3. Chrys, est-ce tu penses qu’on peut arriver à avoir suffisamment de « conquêtes » en ne pratiquant que la journée et en évitant la pratique en clubs et bars la nuit ?

    • Oui bien sûr !

      Je connais beaucoup d’hommes qui ne pratique d’en journée. J’en fait d’ailleurs partie.

      D’ailleurs, ça peut même être bien mieux dans certaines condition.

      Par exemple, pour moi qui travailles sur internet, chez moi, et qui habite en centre ville : Je peux me lever à 6 heures du matin, travailler jusqu’à 11 heures ou midi, faire une pause d’une demi-heure une heure et aller marcher/faire des courses (+draguer), histoire de me décontracter un peu, et refaire la même chose 2/3 heures plus tard.

      En tout je peux bosser 40 à 60 heures par semaine, et aborder une vingtaine de filles en liant l’utile à l’agréable. C’est largement suffisant pour avoir plusieurs dates/fcloses tous les mois si je maintiens la cadence de mes approches.

  4. Excellent article Chris.

    Je trouve très pertinente ton analogie avec la musculation, et en fait c’est vrai pour tous les domaines : faire 100 heures de piano en une semaine sera futil sur le long terme, et beaucoup moins efficace que de faire 100 heures de piano sur 6 mois.

    La régularité PRIME définitivement sur l’intensif.

    Je vois le coaching comme étant vraiment le coup de pied et l’accompagnement dont certains ont besoin pour les débloquer, non pas quelque chose qui les rendra irrésistibles au bout d’un certain nombre d’heures.

    D’ailleurs, je pense qu’il faut voir le coaching comme un gain de temps (ou encore une fois, un coup de pied aux fesses) et ne pas en espérer beaucoup plus.

    La démarche de d’amélioration personnelle et d’expérience ne s’acquiert que par la pratique régulière.

    Au plaisir !

  5. Salut Chris pense tu qu’on puisse séduire, dragué, baisé, ect. .toute « sa vie » ? ou si tôt ou tard on aura indéniablement moins d énergie , de enthousiasme. .et sans doute ou pas moins de succès, et que viendra l’heure où peut être de rentré dans le moule, et éventuellement se casé de manière traditionnelle j’entends.

    • Il est sur qu’à partir d’un certain âge, l’envie, la libido, l’energie disparaita. C’est inévitable.
      Cependant, rentrer dans le moule (si tu entends par là : être en couple) pour éviter la solitude, n’est pas forcément gage d’efficacité.

      Être en couple et se sentir seul ne sont pas deux choses opposées. Il y a des gens qui sont en couple et qui se sentent très seuls, d’autres qui sont célibataires et qui ne sont.

      La famille traditionnelle qu’on a connu nos grands-parents est dépassé. Aujourd’hui, un mariage sur deux débouche sur un divorce et un tas de personnes voient en enfants 3 fois par an et finissent en maison de retraite.

      Aussi, après 10 ans de vie commune, il n’est pas dit que ce soit encore le parfait amour avec ta femme. Donc, faut faire attention aux idées reçues sur le « moule ».

      Personnellement, je compte avoir des enfants, peut-être autour de 40 ans. Est-ce que ma relation sera traditionnelle ? Probablement pas. Même si elle est exclusive je préférerai garder une certaine indépendance vis-à-vis de ma femme/partenaire.

      Mais surtout, je n’abandonnerai pas ma vie sociale, mes projets, etc. (peut-être même pas les femmes), parce que c’est ça qui détermine ta solitude au final.

      Est-ce que draguerai toujours après 60 ans… Pourquoi pas, si je continue à y prendre du plaisir et que ça permet de maintenir une vie sexuelle et affective épanouie ! Faut penser en termes de bien-être, plutôt que d’écouter la société nous dire ce que nous avons ou non le doit de faire.

      Mais ce sera sans doute dans des conditions différentes d’aujourd’hui, à un rythme différent.
      Comme je l’ai déjà dit , faut adapter la drague à sa vie, et non l’inverse.

  6. je comprends ce que tu veux dire mais je ne suis pas d’accord avec l’article. Pour passer certains cap/plateau il faut faire de l’intensif ponctuellement. Sinon tu progresseras pas assez vite et ta motivation va décroitre… Je te trouve dur avec les coaching, j’en ai fait 2. Pour moi le problème c’est que ça coûte cher et surtout que ça s’arrête pour la plupart au numéro de tel dans la pratique. Perso je conseillerais de draguer régulièrement mais parfois pendant des vacances de faire de l’intensif pour réellement progresser.
    La drague c’est un sport, faut pratiquer donc je vois pas pourquoi le pratiquer intensivement ponctuellement sera mal ou contre productif, ce n’est ps mon expérience. Au contraire c’est au moment ou j’ai fait un peu d’intensif que j’ai réalisé qu’il y avait aussi une part de nombre qui rentre en jeu et j’ai réellement senti un mieux, parce que j’avais créer plus d’opportunités.
    Proposer un coaching de 6 mois, c’est pas viable… On est pas tous parisiens, faut avoir le temps et trouver le kréno horaire avec le coach… Bref ingérable…

    • Pour passer certains cap/plateau il faut faire de l’intensif ponctuellement.
      Sinon tu progresseras pas assez vite et ta motivation va décroitre…

      Il faut faire du constant.Point.

      Pas besoin de faire des session 6 heures à chaque fois. D’ailleurs, qui a le temps pour ça ?

      Et, concernant ta seconde phrase, c’est justement l’inverse!

      Si tu fais une session par seamine de 6 heures VS 6 sessions d’une heure : (1) tu vas progresser beaucoup moins vite – (2) passer beaucoup d’heure e, une seule fois est le meilleur moyen de se cramer et d’en avoir marre. Quand tu y vas une heure, t’es pressé d’y retourné le lendemain. Quand tu passes plus de quelques heures, ça te gonfle, et t’as juste envie de rester chez toi tranquille ensuite.

      + En général, la frustration et la démotivation vient d’un manque de résultat par rapport à un gros investissement. Des mecs qui se sont arrêtés après avoir faits une dizaines de grosses sessions sans résultat, j’en ai connu plein. En soi, ils n’ont fait que 10 sessions (pas assez), ils ont tellement investi de temps et d’energie que cela les frustres de ne pas avoir obtenu de résultat. Toi, tu dois être une exception…

      Les mecs qui arrivent à séduire sont des mecs qui ont intégrer la drague à leur style de vie.

      Ils ne passe pas forcément beaucoup de temps à draguer, mais ils abordent régulièrement. C’est mon cas, comme c’est le cas des mecs qui t’ont donné un coaching. Ca m’étonnait qu’ils abordent juste une fois par semaine…

      Au lieu de faire le dragueur du samedi, et d’aller faire des sessions de 6 heures le week-end, essaye juste de sortir une demi-heure/1 heure par jour pour aborder quelques filles, tu verras la différence !

      Perso je conseillerais de draguer régulièrement mais parfois pendant des vacances de faire de l’intensif pour réellement progresser.

      Ca ne contredit pas ce que je dis.

      Si tu veux faire de l’intensif, libre à toi ! Tu feras plus d’approches, tu prendras plus de numéro. Aucun doute là-dessus.

      Si tu dragues 7 heures un samedi, tu auras plus de résultat que si tu dragues 1 heure. Mais tu progresseras beaucoup mieux si tu répartis ces 7 heures en 6 ou 7 jours. Voilà où je veux en venir.

      La drague c’est un sport, faut pratiquer donc je vois pas pourquoi le pratiquer intensivement ponctuellement sera mal ou contre productif, ce n’est ps mon expérience.

      La régularité prime sur l’intensité, et de loin.

      Après, si veux passer 60 heures par semaines à drague, tant mieux pour toi.

      Mais c’est 60 heures que tu passes à draguer, tu pourrais les passer à faire autre chose. Parfois de plus productif.

      Pour reprendre ton parallèle avec le sport : l’entrainement d’un springter par exemple ne consiste pas qu’à courir toute la journée… Il aussi faire de la musculation pour renforcer les groupes musculaire importants, faire des étirement, etc. Pour améliorer ses perf. Courir ne sera qu’une partie de son entrainement.

      Y’a aucune problème à faire de l’intensif une fois de temps (l’été, en vacances, quand il fait beau, etc.), mais (1) ce n’est pas viable à long terme (on ne peut pas faire 4/5 sessions longues d’affilée chaque semaine). Y’a un équilibre à avoir. Et souvent (2) trop draguer t’empêche d’évoluer dans d’autres domaines qui te rendrait pourtant plus efficace sur le terrain. Je pense que si tu remplacer 10 heures de terrain par 1à heures de sport, t’améliorerait ton attractivité, et ça rendrais tes 50 autres heures plus efficaces.

      Au contraire c’est au moment ou j’ai fait un peu d’intensif que j’ai réalisé qu’il y avait aussi une part de nombre qui rentre en jeu et j’ai réellement senti un mieux, parce que j’avais créer plus d’opportunités.

      D’accord, mais est-ce que tu as fait du régulier avant ?

      En terme de temps/approche, l’intensif est ce qu’il y a de moins rentable.

      Ca s’explique par la loi de Parkinson ==> https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Parkinson

      Si tu te donnes 1 heures pour faire plusieurs approches, tu as beaucoup moins de chance de procastiner que si tu as tout ton temps pour aborder.

      Et, avec régularité, si tu fais 3 approches 5 fois par semaine, à la fin du mois tu fais 60 approches : probablement beaucoup plus en terme de temps investi/approches faites, que si tu attendais le samedi pour faire tes approches.

      Proposer un coaching de 6 mois, c’est pas viable… On est pas tous parisiens, faut avoir le temps et trouver le kréno horaire avec le coach… Bref ingérable…

      Il s’agit d’un suivit, où l’on s’assure que le coaché intègre la drague dans son style de vie.

      On n’est pas obligé de voir le coaché toutes les 2 semaines. Même une fois tout les 3 mois peut suffire, à condition que le coaché pratique (et quand il est engagé quand un programme de coaching, il a beaucoup plus de chance de continuer à pratiquer que s’il est livré à lui-même derrière. Là encore ça s’explique par le principe psychologique d’engagement).

    • Je te rejoins sur un point Thomas, c’est que la pratique en coaching ne s’arrête qu’à la prise de numéro. Or, cette étape est la plus facile. Le plus difficile vient après. Comment la garder, comment susciter l’envie à chaque fois?
      Faudrait aussi parler de l’importance du mental, quoi faire quand j’ai des numéros mais que très peu aboutissent? Qu’est ce que je dois améliorer dans ma pratique? Comment être indifférent du résultat et que cela ne m’affecte pas quand les statistiques ne sont pas en mon avantage, etc. C’est un point crucial selon moi.
      La plupart des coachs rendent cette activité « glamour » ou « légère » mais ce n’est pas toujours aussi simple et parler des périodes de doutes et aussi important. Même le meilleur des séducteurs peut être traversé par ces moments de doute.

  7. @Nino tu te vois a 50 ou 60 ans aborder des femmes de 20 ou 30 ans dans les rues ?

    Surtout que je ne vois pas des femmes jolies de cette tranche d’âge vouloir d’un « vieux » alors qu’elles ont des BG de leur âge.

    Après si tu es une célébrité ou bonne réussite professionnelle pourquoi pas, mais sinon sa risque d’être dur.

    Car soyons honnête c pas les femmes de 60 ans qui te donneront envie, et crois moi que la tu vas voir que le SPU a des limites dans le temps…

    @Chrys tu as donc le temps faire du SPU au meilleur moment de la journée (8h-16h), tu as de la chance car quand tu fais des horaires de bureau et que tu finis après 18h et bien l’hiver c mort (nuit et le froid).

    L’été les femmes sont souvent aux terrasses en bande de filles ou alors avec des mecs et donc pour avoir une femmes faut gérer les gens qui sont avec elle et ils restent bien entre eux.

    Pour moi le meilleur moment pour SPU c le matin entre 8h et 12h (voir 14h), je me sens plus en forme et jai une meilleur énergie sexuelle après une bonne nuit de sommeil qu’après une dur journée de travail dans les jambes.

    Pour finir je pense qu’en NPU on a plus de résultat qu’en SPU et la raison est la mentalité générale (donc des femmes) et de la société, la masse est conditionné a une règle:

    Drague de rue = wesh wesh, mec chelou ou les associations qui harcèlent pour qu’on donne de l’argent.

    Drague en bars = accepter par la société et normal dans l’éducation.

    Une femme pourrais dire non a un mec dans la rue par principe et dire oui a se même mec si il est présenté dans un cercle social ou rencontré en bars/activités.

    Pour en revenir au coach il faut faire attention au vendeurs de rêve et surtout quand on vous demande des sommes astronomique sans réelle certitude de resultats c de l’arnaque.

    Un peu comme les voyants et sites de rencontres, mais la encore les prix restent raisonnables…

    • @Romi, quand tu dis que les femmes de 60 ans ne donnent pas envie et que le SPU a des limites dans le temps, je ne suis pas d’accord. Ma mère a la 60 aine et se fait draguer quelques fois par des hommes de sa génération qui ont plus de couilles que ceux de la notre, il faut le reconnaître.

      Les années 70, c’était la libération sexuelle, et aborder les femmes dans la rue était fréquent. Cette génération d’homme a gardé ce réflexe.

      Par conséquent, on peut draguer à tout âge, tout est une question d’état d’esprit encore une fois.

      Est ce que nous l’aurons à leur âge? A voir.

  8. Je parle de notre époque actuel, car bon dire ce qu’il y avait il y a 30 ou 40 ans en arrière on n’est pas sortie de l’auberge.

    Je suis pourtant d’accord avec toi sur le faite qu’avant aborder dans la rue était naturel et les femmes trouvaient cela bien et normal.

    De nos jours beaucoup d’entre elles sont choqué que tu les approches de cette manière et même si c pas verbalisé de leur par tu le vois dans leur yeux ou une attitude de crainte et de méfiance.

    Ce que a changer depuis les années 70/80 et 2000/2010 ?

    -Internet
    -Sites de rencontres
    -smartphone

    Et surtout un sentiment de méfiance sur les gens autour de nous, les gens qui sortent du cercle social habituel et une impression de sortir la fille d’un « coma » quand on lui parle et qu’elle doit enlever les écouteurs et lever les yeux de son écran de téléphone.

    Le monde a changer et maintenant c plus facile à trouver des femmes derrière son ordi que dans la rue.

    Je trouve pas sa normal qu’on doit apprendre à des hommes dans la rue ou en bar, c’était naturel avant alors que maintenant on dirait que pour avoir quelques numéros de tel ou réussir FC une femme en SPU il faut faire 250 approches ou être Un super BG sans défaut

    • Salut Romi.

      Comme d’hab, je suis pas d’accord avec au moins 90% de ce que tu dis.

      Pour être honnête, tu m’as l’air de ressentir une forte frustration (colère) au fond de toi que tu essais de légitimer par la logique. Et forcément, tu en arrives à des conclusions biaisées.

      Des tas de femmes aiment se faire aborder (si le profil du mec leur plait) !

      La seule différence qu’à apporté le féminisme, et j’ai pu le constaté en une décennie, c’est qu’aujourd’hui ce n’est plus devenu un acte anti-social d’envoyer balader un homme poli qui t’aborde.

      Probablement, dans les années 60, si un homme accostait une femme pas intéressée, elle te faisait un sourire et l’envoyer balader gentiment. Aujourd’hui, on est arrivé à une réaction de plus en plus binaire :
      – Si tu me plais je te laisse me séduire
      – Si tu ne me plais pas = t’es un relou qui m’harcèle et je t’envoie bouler comme une merde.

      J’ai énormément progressé ces 10 dernières années, mais je me prends encore plus de grosse veste aujourd’hui qu’il y a 10 ans. Parce qu’aujourd’hui, les filles ne se sentent plus du tout mal à l’aise de t’envoyer chier en 1 demi-seconde. Merci le Féminisme 🙂

      Ca fait partie du jeu. Faut l’accepter.

      Internet ajoute une concurrence supplémentaire. Paradoxalement, surtout pour les coups d’un soir frivoles, car avec Tinder les nanas qui veulent coucher sans attache peuvent juste échanger quelques message avec le mec, le ramener chez elle et se faire sauter vite fait bien fait.
      Mais les femmes rêve toujours autant de rencontre le « prince charmant » de manière spontanée, loin des rencontres balisées par la société. Il suffit de voir les sondages sur le sujet.
      Les femmes sont suspicieuse dans la rue. Oui, c’est un lieu qui n’est pas simple (malgré que le processus de séduction le soit), et c’est à toi de faire ne sorte qu’elles baisse leur garde. C’est d’aileurs (comme je l’explique dans mon nouveau livre), le principale enjeu de la drague de rue : installer du rapport rapidement.
      Si tu es cool et à l’aise quand tu abordes et interagis, tu peux très vite transformer la méfiance en confiance.
      C’est pareil pour la vente. Quand on voit arriver un vendeur, on est suspicieux. Mais la profession n’a pas disparu pour autant, parce que les bons vendeurs savent la faire disparaitre.

      Je trouve pas sa normal qu’on doit apprendre à des hommes dans la rue ou en bar, c’était naturel avant alors que maintenant on dirait que pour avoir quelques numéros de tel ou réussir FC une femme en SPU il faut faire 250 approches ou être Un super BG sans défaut
      Je suis d’accord là-dessus. Mais le PROBLEME NE VIENT PAS DES FEMMES. Il vient de NOUS : notre peur des femmes à cause de la propagande » féministe, et aussi parce qu’on s’est aussi beaucoup féminisé depuis les années 60.

      Si les mecs ont inventé le « game », c’est parce qu’ils ont peur des femmes. S’il n’y a pas de peur, il n’y a plus besoin de Game. C’est encore une fois ce que j’explique.

      Et si enlève tous les trucs parasytes de son game, qu’on retire la pression, et que la rencontre devient fluide agréable et naturelle, un mec moyen passe facilement en dessous des 1 FC/40 approches.

      Je couche avec 1 fille sur 23 que j’aborde. Et je suis loin d’être le moins sélectif, ni d’être le plus beau/riche

  9. @Chrys il y a aucune colère ou frustration, j’ai aborder pas mal et j’ai aussi fait un constat des couples autour de moi et pas une femme est en se moment en couple avec un mec connu dans la rue.

    Le SPU est un bon font de commerce (la rue est gratuite et prendre un numero sa donne du rêve au novice de la séduction).

    Les coach en France on tendance à ne parler que de sa comme si il n’y avait pas moyen de rencontrer des femmes dans sa vie à tous les jours pendant c activités et en cercle social.

    Comprenons nous bien: j’aborde aussi dans la rue si par hasad je croise une femme qui me plaît, mais je trouve dommage de laisser le reste de côté.

    Quand je ne me pensais pas qu’on pouvais draguer hors SPU et NPU j’ai loupé deux filles connu en Salsa et une autre a l’auto école…

    Et pourquoi ? Parce quˋavant la séduction était juste dans les endroits « spéciaux »

    En plus tu la dit toi même, les femmes seront open si le mec lui plait, et donc on est d’accord sur ce point.

    • @Chrys il y a aucune colère ou frustration, j’ai aborder pas mal et j’ai aussi fait un constat des couples autour de moi et pas une femme est en se moment en couple avec un mec connu dans la rue.

      Y’a 2,6 millions de millionnaires dans le monde. Mais comme j’en connais aucun dans mon entourage, ça ne doit pas exister (je reprends ta logique).

      Comprenons nous bien: j’aborde aussi dans la rue si par hasad je croise une femme qui me plaît, mais je trouve dommage de laisser le reste de côté.

      Qui a dit qu’il fallait mettre le reste de côté ? Quand on drague dans la rue, on ne signe pas de contract d’exclusivité pour rencontrer dans la rue… Cependant, grâce à la répétition (parce que pour devenir bon dans un domaine, il faut répéter encore et encore), avec la drague de rue, on est plus efficace quand on rencontre une fille quelque soit le contexte. C’est que tentait de te dire Nino la dernière fois. C’est aussi ce que je t’ai dit. La drague de rue sert à forger ses compétences.

      + si je n’étais pas convaincu que les hommes (socialement normaux) pouvait rencontrer dans la rue, je ne le conseillerais pas. Je peux te le garantir.

      Ce que dit Karim, que les coachs ont tendance à « enjoliver » la drague de rue est vrai. En réalité, on se prend des rateaux, une partie des numéros ne répondent pas, et sans impulsion on peut se sentir facilement frustré. Mais ça reste un merveilleux moyen de rencontrer des femmes, et très agréable si on lâche un peu prise.

  10. Des articles sur drague en activités/cercle social pourrais aider à faire disparaître quelques peurs chez beaucoup d’hommes.

    Chrys tu sembles ne pas me croire que beaucoup de femmes n’ont pas besoin d’être draguer dans la rue pour être en couple ses pourtant vrai.

    • Je n’ai JAMAIS dis ça !

      Je suis sorti aussi bien avec des nanas de ma fac, mon boulot, et quelques amies de mes amis rencontrer en soirée.

      Mais tu ne sembles pas vouloir comprendre ce que je te répètes concernant la drague de rue : c’est aussi bien un moyen de rencontre, qu’un outil de progression (vis à vis de ses peurs de parler avec une femme, pour développer ses compétences en communication, etc.)

  11. Je comprend mieux et je suis d’accord dans ce cas. 😉

  12. Perso j’ai jamais eu difficile de choper a 20 ans, meme tres facile, mais avec l’age ca devient de plus en plus difficile
    bien sur certains facteurs sont evidents

    – baisse des endroits de rencontres, soirés et boites pour quarantenaire c’est moins repandu
    – femmes de notre age maquées avec gosses pour la plupart et qui sortent seules regulierement sans leur mec ou meme d’amies (envoye le signal dispo alors que pas dispo, quand on les connait on s’en rend compte)
    – la competition : je me rappelle pas avoir eu a gerer une telle competition. des qu’un fille est potable, les mec deboulent en masse, et les mecs de 30-40 sont experimentés et pas nés de la derniere pluie, ce qui en facilite pas les chose. Tandis qu’un gars de 18-20 ans avec de l’experience est confronté aune competition negligeable parfois, comme celle de mecs puceaux
    – j’ai l’impression que les femmes cherchent des mecs plus jeunes apres 40 ans. je me fais draguer par plus agé (5 a 10 ans) constamment mais les nanas plus jeunes (5 a 10 ans) s’interessent pas fort a moi

    certains pretendent que c’est la société qui a changé, femmes sollicitées en permanence par interent etc. c’est possible mais assez flippant

  13. Nicolas Dieschbourg

    je suis très d’accord avec toi, Chrys, sur le coté illusoire des coachings intensifs en quelques heures, et même 1 week-end, ayant fais moi même 2 sessions de coaching de drague de rue en 1 après midi, après la session très vite, je suis retombé dans ma foutue zone de confort qui m’ empêchait d’ aborder à froid, dans la rue, des femmes, surtout les plus belles
    et je sais ‘EXPÉRIENCE que de faire peu d’approches mais RÉGULIÈREMENT est infiniment plus EFFICACE, et je conseille à toute personne débutante en drague de rue l’excellent ébook de Chrys « la drague minimaliste », qui est pour moi, et de loin, le meilleur ebook de drague que j’ ai lu, le seul qui soit honnête, réaliste, pragmatique, applicable, et qui ne donne pas de faux espoirs comme tant d’ autres ebook de la drague, qui promettent monts et merveilles, mais ne font que vendre du fantasme illusoire………je l’ ai acheté, et je le trouve excellent, et d’une aide précieuse pour tous ceux qui veulent apprendre à draguer dans la rue, et progresser à son rythme, mais surement, à acquérir absolument, et pourtant, j’ ai déjà 50 ans

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