Le secret pour devenir un virtuose de la drague


Voici un conseil simple qui vaut n’importe quelle formation sur l’approche ou la conversation :

Faites comme si aucune de vos n’approches n’avait pas d’importance.

Osef si ça fonctionne ou pas !

L’astuce, c’est d’être capable d’aborder n’importe quelle fille en ressentant autant de pression que si on demandait l’heure à une grand-mère ; puis lui faire la conversation comme si on s’adressait à un vieux pote qu’on aurait croisé pas hasard.

Pour être l’aise et atteindre l’état d’immersion, il faut arrêter de se mettre la pression et éteindre son dialogue intérieur. On ne peut pas se parler à soi-même et à une autre personne en même temps.

  • Est-ce qu’elle pense que je suis un relou ?
  • Qu’est-ce que je vais pouvoir lui dire après ?
  • Est-ce que mon attitude est assez alpha ?
  • Est-ce que mon langage corporel est masculin ?
  • Qu’est-ce que je peux dire pour paraître drôle ?
  • Est-ce que la conversation est suffisamment intéressante ?
  • Etc.

Lâchez prise avec toutes ces questions que vous vous posez pendant que vous draguez.

Faites-vous confiance ; ayez foi en votre potentiel.

Vous devez vous détendre et laisser aller l’inspiration du moment, au lieu de vouloir jouer au fin technicien, en voulant tout contrôler et en vous efforçant de paraître plus alpha/confiant/drôle/intéressant que vous ne l’êtes.

Même si vous arrivez à être 20 ou 30% plus cool et confiant que vous ne l’êtes en temps normal, ce ne sera pas un « game changer ».

Si vous êtes DÉJÀ naturellement confiant et cool, rester naturel suffira !

Note : à vrai dire, il peut même être préférable, dans les premières minutes, d’en faire MOINS, pour ne pas paraître TROP à l’aise et sûr de soi.

Et si vous n’êtes pas naturellement assez cool et confiant pour la fille, alors il n’y a probablement rien que vous puissiez faire. Car, un moment où un autre, votre véritable VOUS va se révéler.

C’est un peu comme retoucher abusivement ses photos sur les apps de rencontres. Il y a toujours un moment où l’on finit par s’en rendre compte…   

En outre, quand vous voulez tout contrôler – le contenu de la conversation, votre attitude, etc. – au lieu de lâcher prise, vous perdez au moins 50% d’authenticité !  

La fille en face ressent que vous n’êtes qu’à moitié vous-même, que vous jouez en partie un rôle pour l’impressionner. 

Or, voici le problème : si elle sent que vous n’êtes pas 100% authentique, vous n’allez pas du tout lui inspirer confiance.

Et un inconnu qui n’inspire pas confiance, c’est NEXT !

J’ai souvent répété qu’une approche directe était, malgré sa simplicité, une approche originale parce que très, très peu d’hommes osent arriver à la hauteur d’une femme et lui avouer qu’elle lui plaît, tout en la regardant dans les yeux. Elles ne sont pas habituées à ce qu’un homme montre autant de courage, et ça peut être déstabilisant pour certaines (dans le bon sens du terme).

Mais il y a une démarche encore plus originale, un level au-dessus de celui-là.

C’est l’approche AUTHENTIQUE.

C’est-à-dire approcher la fille en restant qui l’on est.

Ça, quasiment aucun homme n’en est capable, parce qu’au fond d’eux ils ont l’impression qu’ils doivent « performer » pour avoir une chance de plaire aux filles.

Ils pensent qu’il faut déplier la queue du paon (humour, bombage de torse, fanfaronnades et voiture de luxe), pour séduire…   

C’est faux.

Comment s’en foutre !

La question maintenant, c’est : comment s’en foutre suffisamment pour lâcher prise. Pour ne plus ressentir cette fichue pression de la performance et rester authentique ?

La réponse est simple : il faut faire comme s’il n’y avait AUCUN enjeu.

Comme si chaque approche comptait pour du beurre et que l’important, finalement, c’était juste de « tenter le coup ».

Et la meilleure solution pour y arriver, c’est d’aborder régulièrement !

C’est exactement comme la prise de parole en public…

Si vous faites une conférence tous les 10 ans, vous allez attacher beaucoup d’importances à votre performance.

  • Vous allez avoir peur que les gens trouvent votre speech insipide,
  • Vous allez craindre les trous de mémoire comme la peste,
  • Vous sentir hyper anxieux.

C’est normal.

Mais si vous faites une conférence tous les jours de la semaine, du lundi au vendredi, cela va s’inscrire dans vos habitudes, comme n’importe quelle autre action quotidienne.  

Vous allez finir par vous adresser à votre public comme vous parleriez à votre voisinage.

Avec l’habitude, vous n’attachez plus vraiment d’importance à votre perf’. Vous arriverez à votre conférence en toute décontraction, avec les mains dans les poches et en sifflant la Marseillaise.  

Et devenez quoi : en étant super relax comme ça, vous serez plus à même de captiver votre audience !

Non pas tellement grâce au contenu de votre speech, mais grâce à la manière dont vous le délivrez : avec votre aisance et votre naturel.   

C’est la même chose quand vous approchez une fille, ou quand vous la contactez par téléphone, ou quand vous êtes en rencard.

Curieusement, c’est lorsqu’on cherche le moins à performer qu’on performe le mieux !

Si vous abordez juste de temps en temps, et qu’à chaque fois vous flippez parce que chaque approche vous semble importante (vous avez limite l’impression de jouer votre réputation et votre amour propre), alors multipliez votre nombre d’approche par 5 ou 10 !

Vous verrez, chaque tentative deviendra 5 ou 10 fois moins importante à vos yeux !

Si vous n’arrivez pas à aller vers une fille en lâchant prise et en restant vous-mêmes, parce que dans votre for intérieur il s’agit d’un truc trop important pour se louper, vous allez TROP vous mettre la pression, TROP réfléchir, TROP faire semblant d’être quelqu’un d’autre… et ça ne va pas marcher !

Mais si vous multipliez votre nombre d’approches par 5 ou 10, ne serait-ce que pour un temps – le temps de réaliser qu’une approche, c’est peanuts ! – aucune ne vous paraîtra importante après un moment.

Vous allez ENFIN pouvoir vous détendre, lâcher prise, et vous intéresser à la fille en face plutôt qu’à votre besoin de validation.

Alors vous vous montrerez sous votre meilleur jour : l’authentique VOUS !

+ bonus : chaque minute de conversation avec une fille vous paraîtra agréable plutôt qu’éprouvante !

Chrys

À propos Chrys

Je suis l’auteur de plus de 350 articles sur la séduction. Je donne aussi des coachings et des consultations sur la drague en journée, la séduction et la gestion de relations.

18 plusieurs commentaires

  1. c’est vrai (on en revient au baba de la drague)
    quand tu parles en public , j’ai pris des cours, on te dit que le plus important est la forme, il faut etre calme detendu et parler avec conviction (le discours de pecresse a paris etait un exemple de ce qu’il ne faut pas faire)
    MAIS

    – il faut des targets valables (fille seduisantes, pas trop de difference d’age, plus divers criteres. perso j’aimerais plutot un article sur les lieux ou on peut trouver des targets valables sans avoir une competition de malade

    – certans femmes sont vraiment bizarres et/ou inabordables. une fille en salsa j’ai ete lui parler, elle m’ a meme pas repondu. dans la rue c’est acceptable mais ici c’est vraiment de l’impolitesse. Je ne parle pas non plus de certaines meprisantes. Quand tu te ramasse un rateau il y a differentes facons de le faire. j’ai des gars en milieu fermé (sic) ou theoriquement du dois faire impression qui se plaignent du comportement de certaines femmes. j’ai des potes qui veulent meme plus les voir.

    – le next ca marche peut etre dans la rue etc mais pas dans des milieux fermés (soirées entre potes etc) NPU (soirées), loisirs ou le nombre de targets valables est en quantité limitée les types utilisent d’ailleurs pas la strategie du next mais plutot une strategie que j’aime pas trop : etre collant a sa proie et gagner a l’usure. en milieu ferme tu dois etre discret sur ta drague

    – concernant la drague de rue que j’ai jamais fort pratiqué j’aimerias aussi des anecdotes sur els plantages : embrouille avec le mec present mais que tu a pas vu mais present (tu peux pas savoir si la fille est maquée ou pas), incidents divers (il ya une video d’une nana qui balance son sac sur un drageur de rue a paris), il y a aussi une video d’une fille qui a appellé les keufs

    • @Luc comment tu fais pour avoir des embrouilles avec les mecs de tes cibles en SPU..

      Pour éviter ce type de chose, je n’aborde pas si je croise une femme genre à Carrefour ou si elle semble attendre quelqu’un (généralement son mec ou une copine).

      Cela me soule car je loupe des femmes qui peuvent me plaire, mais aucun intérêt à être déranger par des boulets quand tu abordes..

      Quand tu dis, que des mecs que tu connais sont « collant à leurs proies » et bien comme toi je n’étais pas fan, mais ceux que j’ai vue en Salsa sont ceux que j’ai vue conclure…

      N’oublie pas que si tu plais a la fille être collant ce n’est pas mal vue par les femmes.

      Je te rejoins sur le faite que les femmes doivent te plaire pour aborder…. Voilà pourquoi aborder en masse j’ai du mal car si les femmes en face ne m’attire pas c pas la peine…

      • je fais pas de SPU, uniquement NPU.

        les mecs collants ou pluto hypercollant (c’est pas le copain mais il colle a la fille comme si ce l’etait), j’ai jamais dit que cette strategie marche pas , mais que j’aime pas et pas dans mes habitudes de faire ainsi (chris en parle pas). c’est un peu relou je trouve. de plus quand un mec est collant comment tu le degages (c’est un sujet 100% amog) ?? je demande a apprendre

        un mec m’a cassé le coup recemment, je discutais au bar avec une fille, mais c’etait son ex (jaloux ou possessif ??), il avait donc une certaine influence sur elle. de plus mes potes le connaissent donc j’ai pas voulu me facher avec lui

        une rare altercation en salsa je l’ai vue ainsi, un mec dansait tout le temps avec la meme fille, un autre mec est venu le degager en lui disant a voir haute qu’il monoplosait la fille en lui arrachant des bras. c’etait a la limite de la bagarre physique.
        effectuvement, les mecs collants c’est beaucoup en salsa que je rencontre ca

        j’ia trouvé tres peu d’articles sur les amogs sur ce site

        • @Luc et oui en NPU c hélas de partout ce genre de boulet…

          A l’époque ou je fessais beaucoup de bars étudiants, je ne visais que des groupes de filles seules (genre juste 2 ou 3 filles) ou un groupe mixte ou les filles étaient plus nombreuses (genre 3 mecs et 5 filles) il était obliger que des filles étaient seules et donc jai jamais eu de problème…

          En Salsa, encore une fois à Lyon les gens qui sont de la Salsa ce n’est pas des gamins et les hommes et femmes sont assez BCBG et jamais vue des obèses tattoo et piercing dans les cours..

          Dans mes groupes c’était une bonne ambiance si j’avais eu plus confiance en moi à cette époque j’aurais au moins deux femmes dans mon lit et peut être même en couple aujourd’hui..

          Les plus belles sont déjà prises, donc faut pas rêver, mais celles avec qui j’avais moyen étaient mignonnes et cela me convient… je ne rêve pas de la HB petassse qui ne pense qu’au fric du mec.. Mais même les HB étaient sympa ^^,

          Pour les AMOG, de mémoire j’ai juste eu un ou deux cas, mais comme je prenais le leadership avec les femmes je savais être seul avec elles et parce que je ne fessais pas le crevard j’étais bien vue par les jolies femmes…

          Tu vas encore me dire que toi c les autres mecs qui sont collant et sont agressif, mais tkt pas si les femmes n’aiment pas elles savent très bien les éviter par la suite, mais si elles aiment c que c pas collant pour elles…

  2. C’est étonnant ça, car moi c’est absolument tout l’inverse, depuis des années plus j’aborde et plus ça me stress, cela n’a jamais été un amplificateur d’assurance mais le contraire … Malgré tous ces conseils du monde merveilleux des coachs en …. en quoi déjà ???

    • Si tu as blocage plus profond toi que tu n’es pas à l’aise devant les femmes c pas la faute des coach su ne sont pas des dieux…

      Tu as peut être plus besoin d’un psychologue que d’un coaching en séduction…

      La vérité est que sur le terrain, ce n’est pas le cinéma ou les séries tv ou le mec timide ou méritant qui fini avec la HB10 (le plus gros mytho est bien sûr dans Hitch ou le gros fini avec la sexy blonde milliardaire).

    • La pression de la performance est essentiellement due à la peur du rejet/jugement. Et comme toute autre peur, elle s’atténue au fur et à mesure que tu t’y confrontes.

      Si tu sautes 100 fois en parachutes, la peur aura tendance à être (beaucoup) moins présente la 100ième fois que la première, et non l’inverse…

      C’est pareil pour l’approche.

      Si VRAIMENT ça te stress plus, Vanity à raison, c’est en effet qu’il y a un problème mental derrière et qu’il faut voir un thérapeute, pas un coach.

      Mais si tu prends 100 personnes, au moins 99 d’entre eux mon ressentir moins de pression et avoir plus d’assurance en abordant plus souvent.

      Donc, si, dans une certaine mesure, c’est un amplificateur d’assurance. En tout cas, ce n’est probablement pas le contraire (sauf à de très, très rares exceptions, si tu as un ou plusieurs retours traumatisants provoquer par quelque chose de spécifique).

  3. Luc )) pour les autres mecs en soirées, quand tu es avec une fille qui te plaît en interaction,
    Et que tu as un mec qui débarque, tu ne dois pas le laisser entrer dans l’échange avec toi et la fille,
    Cela pour éviter qu’il te la chipe !! Surtout si tu as déjà bien accroché la nana et ressens une
    Bonne connexion))
    – donc si tu vois que le gars veut s’immiscer un peu trop, tu la prends avec toi, tu bouges ailleurs
    Dans le bar/ boîte.
    ( C’est Snipe qui avait fait un retour sur ce type de cas, mais je retrouve pas le lien de la vidéo)

    * En plus tu lead les changements de lieu dans la boîte, donc là fille appréciera si tu lui plaît
    Un minimum)
    Voilà test celà, et fait nous un retour ici
    Peace.

    • je sais tout cela, je faisais ca plus jeune quand c’etait possible en NPU. dans des soirées entre potés j’ai jamais eu de mec qui m’a vraiment cassé le coup, ce qui est normal, ce sont des potes.
      ici c’etait un petit bar/boite bondé, tres difficile de se deplacer et j’eatis au bar.
      les bars ou botes il y a couramment ce genre d’embrouille. j’ai eu dans des bars des mecs qui m’n voulaient car j’avais dragué leur « target »
      pas mal de mecs sont relous aussi je trouve

      trouver des cibles (et pas la proie des autres mecs) c’est deja pas facile, le game c’est pas facile (et le courant passe pas toujours dans l’interaction, avec certaines filles j’accroches pas du tout), mais si en plus des mecs viennent te casser le coup, c’est penible

  4. @Luc et oui en NPU c hélas de partout ce genre de boulet…

    A l’époque ou je fessais beaucoup de bars étudiants, je ne visais que des groupes de filles seules (genre juste 2 ou 3 filles) ou un groupe mixte ou les filles étaient plus nombreuses (genre 3 mecs et 5 filles) il était obliger que des filles étaient seules et donc jai jamais eu de problème…
    En Salsa, encore une fois à Lyon les gens qui sont de la Salsa ce n’est pas des gamins et les hommes et femmes sont assez BCBG et jamais vue des obèses tattoo et piercing dans les cours..

    Dans mes groupes c’était une bonne ambiance si j’avais eu plus confiance en moi à cette époque j’aurais au moins deux femmes dans mon lit et peut être même en couple aujourd’hui..

    Les plus belles sont déjà prises, donc faut pas rêver, mais celles avec qui j’avais moyen étaient mignonnes et cela me convient… je ne rêve pas de la HB petassse qui ne pense qu’au fric du mec.. Mais même les HB étaient sympa ^^,

    Pour les AMOG, de mémoire j’ai juste eu un ou deux cas, mais comme je prenais le leadership avec les femmes je savais être seul avec elles et parce que je ne fessais pas le crevard j’étais bien vue par les jolies femmes…

    Sébastien avait expliqué qu’il faut aller à un autre endroit si il y a des boulets, ou alors avoir un rapprochement physique avec fille si tu es déjà bien en feeling avec elle (en gros être en bulle d’isolation).

  5. – Oui, le marché du sexe, de l’amour et/ou des rencontres est un marché régit par les mêmes règles que les autres (offre/demande, prix d’équilibre, tendance générale, sur/sous évaluation artificiel…)
    – Oui, il y a une « sur demande » de la valeur « femmes » par les hommes, ce qui cause une augmentation du prix (ici, comprendre une augmentation de l’hyperconcurrence et donc une sélectivité accrue)
    – Oui, il existe des critères généraux afin de mettre toutes les chances de son côté. Je pense qu’il n’est pas absurde d’émettre l’hypothèse qu’une grande partie de la population féminine recherche quelqu’un d’attractif, et contrairement à ce que l’on peut penser, la plupart des gens ont beaucoup de critères identiques. Voici une petite liste de qualités qui peut être considérée comme « basique et généraliste » :
    1. Statut économique
    2. Statut social
    3. Intelligence, humour
    4. Forme physique, apparence
    5. Intuition sociale
    6. Confiance en soi

    Bien sûr la liste n’est pas exhaustive, mais personne ne peut nier que ce sont là les critères les plus prisés.
    Après ça reste du cas par cas.
    Mais demandez-vous comment une femme percevrait l’approche d’un homme :
    – Avec un bon job
    – Avec un bon statut social
    – Avec un bon physique (grand, brun, sportif, qui sait se mettre en valeur vestimentairement parlant)
    – Avec une bonne intelligence sociale, humour, confiance en soi….

    • c’est vrai mais pour les femmes voici les criteres

      1. etre presentable (pas trop repoussante physiquement)

      …. c’est tout…. ca suffit a voir abouler les mecs (enfin la plupart des mecs)

      • @Luc tu as bien résumer la chose, les femmes suffis juste qu’elles soient juste normales (ou mignonnes) pour avoir des opportunités…

        D’ailleurs, je vois des grosses en couple avec des mecs maigre ou pas mal physiquement…

        Par contre, je ne vois pas de mec gros avec une belle femme blanche…

        Je vois des mecs moche (dans les 50 ou 60 ans) avec des africaines ou des asiatiques et nous savons pourquoi, c pathétique de finir avec ce type de femmes…

  6. Maintenant le même exercice mais avec l’opposé ?
    Bien sûr, c’est basique comme approche, mais il vaut mieux améliorer les points centraux plutôt que d’attendre qu’une jeune et belle femme nous remarque pour l’une de nos qualité particulière..

    De plus, n’oubliez pas que les femmes ne vivent pas dans le même monde que nous :
    – Les femmes vivent dans une abondance telle, qu’elles se sentent continuellement oppressées
    – Les hommes, au contraire, peuvent rapidement vivre dans un désert sentimental et sexuel s’ils ne sont pas suffisamment actifs et d’une valeur minimale.

    Appelez cette démonstration manque de maturité, moi je l’appelle « une complication de faits ».

  7. @Benji, et si un homme fait 1m70, châtain clair et normal physiquement (pas le corps de Rambo) et qu’il pense faire un métier passion sans avoir une grosse réussite niveau argent, mais qu’il est heureux.. c mort pour lui ???

    Il faut savoir être simple et réaliste dans la vie et tous le monde ne vise pas la bombo superficielle.

  8. Benji: les criteres dont tu parles sont beaucoup trop restrictifs…tout le monde n.est pas un.grand brun.de 1m85…sportif..ave une allure a la James Bond et des reparties qui.font tout le temps mouche…
    Ce n.est pas un humain de notre planete…
    Il y doit avoir des personnes moins superficielles…mais elles ne sont pas faciles a trouver…

  9. Un des meilleurs articles que j’ai lu sur le blog. Je pense que tout le monde devrait le relire a chaque fois qu’il sort pour aller faire des approches.
    Un peu comme si tu ‘écoutait de la musique ou une vidéo de motivation..
    Par contre la difficulté est quand même de simuler le détachement et la dédramatisation. Peut être que se répéter plusieurs fois le mode osef dans sa tête pendant que tu marches peut justement t’auto persuadé qu’il y a pas d’enjeu

    • D’ailleurs avec un travail d’introspection, je pense que la peur d’aborder dans la rue provient d’un sentiment de honte à l’égard d’assumer son intéret et/ou de prendre un rejet. c’est ce sentiment de honte qui horriblement difficile à combattre…et lorsqu’ on aborde ce sentiment devient moins important. sans doute que le cerveau inconscient se rend compte que l’amour propre est conservé malgré le rejet.

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