Le buyer's remorse, ou regret de l'acheteur, est un concept fondamental à comprendre en séduction

Buyer’s remorse 101 : tout ce que vous devez savoir sur le « regret de l’acheteur » en séduction


Le buyer’s remorse en séduction, c’est lorsqu’une fille regrette quelque chose qui s’est produit entre elle et vous. 

Ça peut être une multitude de choses différentes :

  • Elle peut regretter de vous avoir laissé son numéro après que vous l’avez abordé dans la rue ; 
  • Elle peut regretter de vous avoir embrassé lors du premier rendez-vous, ou lors de votre rendez-vous instantané ; 
  • Elle peut regretter de s’être chauffée avec vous au téléphone, alors qu’elle ne vous a même pas encore rencontré (ou seulement quelques minutes) dans la vraie vie ;
  • Elle peut regretter d’avoir eu un comportement qu’elle estime inapproprié – comme vous avoir allumé comme une « salope », en se frottant à vous et en vous disant des trucs coquins à l’oreille ;
  • Elle peut regretter de vous avoir permis d’adopter un comportement qu’elle estime inapproprié – comme avoir les mains baladeuses ;  
  • Et, bien évidemment, elle peut regretter d’avoir eu un rapport sexuel avec vous. 

C’est un phénomène auquel on est TOUS confrontés.

Comme pour le rejet ou pour la déception, c’est quelque chose qu’on ne peut malheureusement pas éviter. Tout ce qu’on peut faire, c’est (a) réduire les risques et (b) l’accepter et vite passer à autre chose quand ça arrive.   

Et ce qui est traître avec le buyer’s remorse, c’est qu’il se déclenche toujours a posteriori.

C’est-à-dire que la fille peut tout à fait apprécier ce qu’elle fait, ou qu’elle vous laisse faire, sur l’instant.  

Ça n’est que plus tard, quand le désir et l’excitation retombent, qu’elle commence à regretter. 

C’est quand elle repense à froid à tout ce qu’il s’est passé durant l’interaction qu’elle commence à se dire qu’elle a fait (ou permis) quelque chose qu’il ne fallait pas, puis qu’elle culpabilise.

Ce terme « buyer’s remorse », qui se traduit par « regret de l’acheteur » en français, n’a pas été choisi par hasard.

Le buyer’s remorse est un principe bien connu en vente, pour désigner le ressenti qu’éprouve certains clients après avoir acheté quelque chose. 

Il y a essentiellement 2 types de regrets qu’on ressent après un achat :

1) Il y a le regret de l’achat compulsif, quand notre désir a été plus fort que nous… 

Si par exemple vous êtes au régime, mais que vous cédez à l’envie d’acheter des beignets au chocolat, il y a de bonnes chances que vous regrettiez votre achat juste après les avoir mangés.

Une fois que votre envie aura été rassasiée, vous allez vous dire « merde, je n’aurais pas dû ! ».

Ensuite, vous allez vous sentir faible d’avoir si facilement succombé à la tentation, et regretté votre acte d’achat.

C’est un exemple de regret que l’on peut ressentir après un achat compulsif.    

2) Il y a le regret du « mauvais investissement ». 

C’est par exemple quand vous achetez un gadget d’une centaine d’euros sur Amazon, et qu’après l’avoir reçu vous avez l’impression de vous être fait un peu « avoir », parce qu’il n’est pas aussi bien que vous pensiez ou qu’on vous l’a promis… Donc vous vous mettez à regretter votre achat.

En séduction, c’est la même chose. 

Le buyer’s remorse est, dans la très large majorité des cas, provoqué par 2 choses :

  • L’ASD de la fille, qui lui fait regretter ses choix qu’elle a faits sous l’excitation du moment ;
  • Une mauvaise expérience “post-séduction”.

Notez qu’il peut aussi y avoir une combinaison des deux. Ça peut-être à la fois causé par l’ASD et par ce qui s’est passé après la phase de séduction.

Comme ma nouvelle politique éditoriale consiste à rédiger des articles courts (mais plus réguliers), j’en resterai là pour l’instant.

Dans les prochains articles, je rentrerai plus en détail sur chacune des causes, et je vous expliquai comment réduire au minimum les risques de déclencher un buyer’s remorse.

À propos Chrys

Je suis l’auteur de plus de 350 articles sur la séduction. Je donne aussi des coachings et des consultations sur la drague en journée, la séduction et la gestion de relations.

Un commentaire

  1. @Luc et les autres ^^

    Il y a quelques jours j’ai aborder une fille de 23 ans, adorable et look qui me plait (skinny noir et haut rouge ou il est possible de voir le soutien gorge lol). J’ai fait une approche direct et j’ai marché à d’elle pendant qu’elle allais a son taff…

    Hyper sympa, et elle viens d’ un endroit près de Toulouse.

    Franchement bonne interaction, mais quand j’ai dit mon âge (40 ans) et bien elle a commencé à être plus distante et bien sur quand j’ai demander le numéro (postent en mode fun et détaché) j’ai pris le classique « j’ai un copain ».

    Voilà un débat intéressant… quand nous sommes franchement au niveau d’énergie et de Game des coach qu’on vois sur YouTube ou autres et que la différence en négatif est la juste parce qu’on est plus (trop) vieux pour les filles jeunes et sexy (qui sont les mêmes qu’on vois en caméras cachées) comment ne pas être démotivé ??? Faut t’il mentir sur l’âge au moment de la rencontre ???

    Moi physiquement je fait 25/30 ans et donc sa choque les femmes que j’ai 40 ans et hélas pas la première fois car quand je pratiquais la NPU en bars assez étudiants à Lyon et que j’avais entre 30 et 32 ans j’avais des rejets avec des femmes de 18 ou 20 ans alors que tous ce passe bien avant la connaissance de mon âge…

    La drague est juste pour « les jeunes » je me pose la question….

    D’ailleurs en SPU les coach sont souvent des mecs entre 25 et 30 ans et donc les femmes sont moins dans le rejet…

    Il y a aussi la réalité ou le seul numéro que j’ai pris c quand j’étais dans indirect Game et ou j’étais normal avec la fille (pas de compliment sur le physique trop rapidement…).

    La fille de Toulouse était open et me plaisais sexuellement (brune et yeux bleu) et elle a l’habitude des « macho man » les fameux dragueurs gel dans les cheveux et pseudo tchatcheur qui roule des mécaniques… donc peut etre que j’aurai eu le numéro à etre plus social…

    Les coach actuel parle rarement de la différence d’âge entre un homme de 35/40 ans qui aborde des étudiantes et qui à cause du wokisme et des féministes font en sorte de manipulé les femmes à rejeter les hommes trop proches du patriarcats donc les hommes virils et qui assume son désir des femmes…

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