Leçon 1 : Comment ENFIN dépasser votre peur de l'approche... tout en devenant plus attirant !

peur d'aborder une fille dans la rue femme les filles femmes des

"


Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.


Nelson Mandela

Le principal problème qui vous empêche d’aborder les filles, c'est l'anxiété à l'approche.

Voilà son symptôme :

Quand vous êtes tranquillement chez vous, vous vous sentez hyper motivé à l'idée d'aborder des filles qui vous plaisent, en appliquant les conseils de drague que vous avez glanés çà et là.

Mais une fois dehors, sur le point de passer à l'action, votre peur s'éveille et une petite voix intérieure négative vous dit « N'y va pas » en vous donnant mille et une raisons.

– Elle est trop pressée...

– Il y a des gens qui autour qui vont te voir...

– Tu n’es pas bien coiffé ce matin...

– Une prochaine fois, là tu as autre chose à faire...

– Etc.


Puis vous renoncez, encore et encore.

Je parie que cette description vous parle. Que vous avez vécu cette situation plus d’une fois.

Le principal problème qui vous empêche d’aborder les filles, c'est l'anxiété à l'approche.

Voilà son symptôme :

Quand vous êtes tranquillement chez vous, vous vous sentez hyper motivé à l'idée d'aborder des filles qui vous plaisent, en appliquant les conseils de drague que vous avez glanés çà et là.

Mais une fois dehors, sur le point de passer à l'action, votre peur s'éveille et une petite voix intérieure négative vous dit « N'y va pas » en vous donnant mille et une raisons
.

– Elle est trop pressée...

– Il y a des gens qui autour qui vont te voir...

– Tu n’es pas bien coiffé ce matin...

– Une prochaine fois, là tu as autre chose à faire...

– Etc.


Puis vous renoncez, encore et encore.

Je parie que cette description vous parle. Que vous avez vécu cette situation plus d’une fois.

Vous n'y allez toujours pas... mais pourquoi ?

Parmi toutes les raisons qui vous incitent à éviter d’aborder les filles, on pourrait citer plusieurs peurs :


  • – La peur de dire quelque chose de ridicule et se taper la honte ;

  • – La peur que la fille pense que vous venez la « harceler » et qu’elle vous rejette violemment ;

  • – La peur de ne pas savoir quoi dire ensuite, pour alimenter la conversation ;

  • – La peur que les gens autour vous prennent en « flagrant délit » de tentative de drague...


Mais au risque de vous surprendre, aucune de ces peurs n'est la principale raison pour laquelle vous n'osez pas aborder.

N'importe quel bon dragueur, lorsqu'il n'en était qu'à ses premiers coups d’essai, a ressenti ces peurs lui aussi. Pourtant il est quand même à l'action.

 
Qui que vous soyez, votre anxiété n'est pas prête à diminuer tant que vous n'aurez pas abordé un nombre assez important de femmes. En attendant, vous devez faire avec (comme un caillou dans sa chaussure) et aborder malgré tout.

Il n'y a AUCUN autre moyen pour faire disparaître l'anxiété à l'approche que la « thérapie de l’exposition » : en vous confrontant à vos peurs encore et encore jusqu’à ce qu’elles disparaissent. Il faut faire le grand saut !

Et la question que je me suis longtemps posée est celle-ci...

Pourquoi certains hommes ont beaucoup plus de difficultés à se lancer que d’autres, alors que TOUT LE MONDE ressent la même anxiété au départ ?


J'ai finalement trouvé la réponse...

– Ce n'est pas « savoir quoi dire » durant l'approche ou la conversation...

– Ce n'est pas non plus connaître une panoplie de techniques pour éviter le rejet...

– Ce n'est même pas une question de compétences sociales : j'ai connu des types plutôt à l'aise socialement qui étaient incapables d'aller accoster les filles.


La cause est plus profonde, et elle se trouve dans vos habitudes de vie.  

Les hommes qui parviennent à surpasser leur anxiété à l’approche ont l’habitude de se confronter aux situations embarrassantes du quotidien. Tandis que les hommes qui n'y parviennent jamais les évitent !

Sans doute la principale raison qui vous empêche de vous lancer, c'est que dans votre vie quotidienne vous avez déjà pour habitude d'éviter toutes les situations embarrassantes que vous pouvez rencontrer.

Quelques exemples…

Situation #1. -  Vous suivez un cours à la fac et vous n'avez pas entendu ce que le prof a dit. Vous aimeriez lui demander de répéter pour compléter vos notes, mais votre petite voix interieure négative intervient pour vous dire de laisser tomber. « Tout le monde va te regarder si tu interromps le prof. Ce sera gênant... »


Résultat. - Vous préférez  éviter, parce que la situation aurait pu être légèrement embarrassante.


Situation #2. Un peu plus tard dans la journée, vous recevez un colis que vous avez commandé sur internet. Après l’avoir déballé, vous vous apercevez que le produit que vous avez acheté a un défaut de fabrication. Du coup, vous pensez appeler le service après-vente pour négocier le remboursement ou le remplacement du produit. Mais là encore, votre petite voix interieure négative vous stoppe en vous trouvant de bonnes excuses pour ne pas le faire : « Tu es fatigué. En plus, tu ne sais même pas s'ils vont accepter de te le remplacer. Contente-toi de ce que tu as pour l'instant. On verra plus tard !  »


Résultat. – Encore une fois, vous venez d'éviter quelque chose que vous auriez voulu faire, parce que vous retrouver au téléphone face à un inconnu pour réclamer un remboursement/remplacement du produit vous embarrasse un peu.


Ce ne sont que deux exemples parmi BEAUCOUP d'autres, car, des situations de ce genre nous en vivons tous les jours.


Et si à chaque fois vous préférez écouter votre petite voix intérieure négative et éviter la situation, que va-t-il se passer quand vous aurez à faire face à une situation encore plus anxiogène ? (Comme par exemple : aborder une fille qui vous plaît ?)

Bingo ! Vous allez ENCORE écouter les milliers d'excuses de votre petite voix intérieure négative, et éviter la situation.

Le conditionnement d'évitement

Voilà votre VRAI problème : depuis trop longtemps vous vous êtes conditionné à éviter toute situation potentiellement angoissante ou embarrassante.

Quand vous risquez d'attirer l'attention vers vous, de faire face à quelqu'un ou de vous retrouver dans un contexte que vous ne contrôlez pas, vous vous défilez systématiquement.  

Ce n'est pas seulement quand il faut aborder une fille que vous manquez de courage, c'est tous les jours !
 
Et à chaque fois,  en continuant de fuir ces situations du quotidien vous renforcez un peu plus votre  conditionnement d'évitement.

Et forcément, quand vous allez croiser une jolie fille dans la rue vous allez faire pareil :  écouter les excuses de votre voix intérieure, et vous la laissez filer.

Éviter les situations embarrassantes est une mauvaise habitude subtile, dont vous n’aviez probablement pas conscience jusqu’à présent, mais qui vous empêche de faire la plupart des choses que vous aimeriez faire  notamment aborder des filles.  

Reconditionnement : remplacez l'évitement par l'action

Vous voulez être (enfin) capable d'aborder, malgré cette peur qui vous assaille ?

Commencez par rompre avec cette mauvaise habitude d'écouter votre voix intérieure négative


Prochainement, quand  vous voudrez faire quelque chose et que votre petite voix intérieure vous trouvera une excuse pour ne pas le faire : IGNOREZ-LA et PASSEZ À L'ACTION !

– Vous voulez demander un renseignement à quelqu'un mais votre petite voix intérieur vous met en garde parce que vous risquez de la déranger... Ne l'écoutez pas. DEMANDEZ !

– Vous êtes dans le bus, vous aimeriez lire votre bouquin tranquillement mais une personne à côté de vous parle très fort au téléphone. Vous aimeriez lui dire (gentiment) de baisser d’un ton, mais votre petite voix intérieure vous dit que vous allez la vexer et vous attirer des problèmes... Ne l’écoutez pas. Dites poliment à cette personne de parler un peu moins fort.  


– Vous êtes avec vos potes et vous avez envie de commander un diabolo grenadine, mais votre petite voix intérieure vous dit que vous devez prendre bière comme tout le monde, sinon les autres vont vous trouver ridicule... N'écoutez pas ces conneries ! Prenez votre diabolo grenadine et assumez vos préférences.  

– Vous repérez un type dans la rue avec un super blouson. Vous aimeriez lui demander dans quel magasin il l'a acheté. Peu importe ce que vous dit votre voix intérieure (« il va te prendre pour un Gay » ou autre), 
demandez-lui !

Ces petites actions du quotidien que votre petite voix interieure veut que vous évitiez, FAITES-LES ! Et à chaque fois que vous choisirez l'action au lieu de l'évitement, vous remporterez une victoire contre votre petite voix interieure négative, et bientôt elle finira par se taire !  

C'est important, parce que cela vous reconditionne à ne plus l'écouter et à ENFIN faire toutes ces choses que vous vouliez mais que vous n'osiez pas faire.
 

Ne soyez pas surpris si, après plusieurs jours à agir au lieu d'éviter, vous êtes soudainement capable d’aborder des filles et que les gens vous trouvent plus confiant !

Exercices

1. Pendant ces 2 prochaines semaines, prenez conscience de toutes les actions du quotidien que votre petite voix intérieure négative tente de vous faire éviter, et forcez-vous à les faire quand même (aussi anodines soient-elles).


2. Prenez un carnet avec vous, et tracez 4 colonnes :


  • - La première pour décrire l’action que vous vouliez faire (taper à la porte du voisin pour lui demander de baisser la musique, demander à un passant si vous pouvez envoyer un texto avec son téléphone parce que le votre n'a plus de batterie, etc.)


  • – La seconde pour noter les excuses que votre voix interieur vous a données pour les éviter (« Tu vas déranger », « On va me prendre pour un fou », « Tu vas te ridiculiser », etc.)


  • – La troisième pour décrire ce qu’il s’est RÉELLEMENT passé quand vous êtes passé à l'action :  la réaction des gens, les bénéfices que vous en avez tiré (le voisin s'est excusé et a baissé la musique, la personne m'a répondu « Pas de problème » et j'ai pu envoyer mon texto, etc. )


  • – La dernière pour décrire ce que vous avez ressenti après l'avoir fait (soulagement ? sensation de bien-être ? de fierté ? boost du sentiment de confiance en soi ?...)   


Puis, à chaque victoire contre votre petite voix interne négative, remplissez chacunes de ces colonnes. 


3. A la fin des deux semaines, relisez l'intégralité de vos notes.


Vous serez surpris de vous apercevoir à quel point l’écart entre ce que prédit votre voix interieure et les VRAIS réactions que vous obtenez est grand !


Vous prendrez également conscience que chaque petite victoire contre votre propre négativité est un énorme boosteur de confiance et d’estime de soi !

Si vous voulez parvenir à aborder, devenir plus attirant et vous sentir mieux dans votre peau, vivez une vie d'action !

Chrys.

Envie d'aller plus loin ? Découvrez mon guide "L'Art Presque Simple de La Drague"

l'art (presque) simple de la drague