Comment draguer dans une petite ville sans se griller ?


En regardant d’où viennent les visiteurs de Drague Academy, je me suis aperçu qu’une petite majorité d’entre vous vient d’une ville de province ou extérieure à la France métropolitaine.

Et si vous êtes un lecteur régulier, vous savez que le nombre de filles abordées est important pour votre succès (honte à vous sinon !).

  • D’une part parce que plus vous abordez, plus vous devenez à l’aise à l’approche.
  • D’autre part parce que plus vous abordez, plus vous avez de chances de conclure.

C’est comme ça que ça marche.

Et c’est parfaitement logique.

Cependant, si vous n’êtes pas dans une grande ville comme Paris, un problème se pose…

C’est bien beau de faire du nombre et encore du nombre, mais si vous draguez dans une petite ville comme un chien fou, vous risquez de vous faire griller très vite !

Je sais que beaucoup d’entre vous se sont déjà posé la question et ont peur de finir par devenir LE dragueur notoire de leur centre-ville.

C’est une crainte qui peut s’avérer légitime.

Le problème s’est également posé pour moi.

Je viens de Lille, une ville qui compte environ 228 000 habitants (à noter qu’il y a tout de même une grande métropole autour), et la bonne nouvelle c’est qu’en 8 ans, je ne me suis jamais vraiment fait « griller ».

Certes…

  • j’ai déjà abordé plusieurs fois la même fille…
  • je me suis déjà fait surprendre 2 fois par des amis en train d’aborder…

…mais en dehors de ça, je passe encore parfaitement sous les radars à Lille.

Dans cet article je vais vous donner quelques conseils afin de ne pas vous faire repérer par les gens qui fréquentent régulièrement le centre, et éviter d’être catalogué comme le gros dragueur de votre ville.

Mais d’abord, je tiens à être honnête avec vous : si vous êtes dans une ville de moins de 100 000 habitants, vous avez un gros handicap pour la drague.

Si tel est le cas, vous devez :

  1. Ne pas avoir de trop grosses ambitions (3 ou 4 fcloses par an à partir d’une approche à froid dans une petite ville, c’est déjà TRÈS bien), ou…
  2. Déménager dans une plus grande ville, où vous pourrez faire du nombre sans souci.

Je pense que 200 000 habitants (intra-muros), c’est le minimum si vous voulez rencontrer des femmes régulièrement dans une ville.

En draguant dans divers endroits de différentes tailles, j’ai remarqué que plus une ville était petite, plus…

  1. Il était difficile de faire du nombre sans « épuiser » le field rapidement,
  2. Il fallait du temps pour trouver des opportunités d’approche intéressantes,
  3. Il était difficile de draguer, car la plupart du temps il faut faire des approches complètement « à froid » (sans énergie), puisque vous ne croiserez que 2 ou 3 filles qui vous plaisent en une à deux heures de session drague.

Si mon style de drague est moins accès sur l’énergie et le bavardage aujourd’hui, et davantage sur le non-verbal, c’est en bonne partie parce que le terrain où j’ai appris la drague avait cette difficulté en plus : on ne pouvait pas enchaîner les approches les unes après les autres en un court laps de temps pour se « chauffer » socialement.

La règle n°1 : Varier !

La première grosse erreur qui vous garantit d’être grillé dans les prochains mois/années qui viennent, c’est de draguer toujours au même endroit.

Beaucoup de débutants draguent uniquement dans le centre-ville. Le problème, c’est que si la population n’est pas très élevée, vous allez être grillé quand vous aurez fait plus d’une centaine d’approches en quelques mois.

Vous allez recroiser et réaborder les mêmes filles sans le savoir, vous faire repérer par les gens qui travaillent dans le coin (même s’ils ont une mémoire à court terme, mais s’ils vous voient faire la même chose 2 ou 3 jours de suite, ils se souviendront de vous !).

L’astuce est donc de varier…

(1) Varier les lieux de drague.

Certes, le centre-ville est probablement l’endroit où il y a la plus forte concentration de filles abordables.

Mais ce n’est pas le seul endroit où draguer.

Pensez aux alentours des transports en commun, des centres commerciaux, des facs et résidences universitaires.

Ce sont de superbes endroits où rencontrer des filles.

Il vous faudra parfois être plus patient, vous attendre à ne faire qu’une ou deux approches en une heure, peut-être même moins dans les mauvais jours !

Mais tant pis.

À titre personnel, j’ai rencontré les meilleures filles dans ces endroits plus calmes, où presque personne ne pense à aller. Le jeu en vaut donc la chandelle.

(2) Varier les horaires.

Si possible, vous devez également varier les horaires.

Une fois en fin d’après-midi, une autre en fin de mâtinée, etc.

Vous pouvez vous rendre dans une fac aux alentours de midi, ou vers 18 heures. Il y a pas mal de flux à ces heures.

Vers les arrêts de bus/métro assez fréquentés, vous pouvez y aller le matin vers 9 heures (si vous avez le courage), aux alentours de midi, ou en soirée vers 18-19 heures.

En changeant régulièrement de lieux, vous pouvez faire un « circuit » et aller d’un endroit à un autre.

Par exemple, si vous bossez depuis votre ordinateur, vous pouvez prendre vos affaires avec vous puis :

  1. Draguer une demi-heure le matin avant de démarrer votre boulot/vos révisions, dans un endroit fréquenté (comme la gare et ses alentours) ;
  2. Puis vous poser dans un café pour travailler ;
  3. Puis faire une pause « drague » d’une heure, à partir de 11h30-midi, en allant aux alentours d’une fac ;
  4. Puis manger et vous remettre au bout jusqu’à  18 heures,
  5. Puis aller faire un tour, tantôt au centre-ville, tantôt dans un centre commercial.

C’est un exemple de circuit que vous pouvez suivre.

En étant suffisamment créatif et en repérant les bons lieux et leurs horaires de fréquentation, vous pouvez vous inventer un bon nombre de circuits différents.

(3) Varier les périodes.

Plutôt que de faire de l’intensif, vous pouvez aussi consacrer une période à la drague de rue, et une autre période à revoir le plus de contacts possible et/ou à travailler votre apparence.

Contrairement à ce que vous pourriez être tenté de penser, vous ne perdrez pas votre temps à faire ce genre de choses à la place !

L’apparence joue un rôle important pour la réceptivité des filles à votre approche.

Quand j’ai repris la drague après 4 mois d’arrêt où je m’étais remis à la muscu,  j’étais plus costaud, plus sec et aussi mieux habillé qu’avant. Et mon taux de réussite à l’approche a instantanément augmenté.

Pourtant je n’avais pas abordé depuis 4 mois…

Varier les périodes est bon psychologiquement pour vous. Parce que vous avez l’esprit plus « libre » après, vous avez moins peur d’être grillé Et ça vous permet aussi de vous faire un peu « oublier ».

C’est drôle, mais j’ai remarqué que si vous openez une même fille à 6 mois d’intervalle, il y a de bonnes chances qu’elle ne se rappelle pas de vous. Alors que si vous l’openez 2 fois dans la même une semaine, elle se souviendra de vous pour toujours, même si vous l’abordez dans 5 ans…

D’où l’intérêt de faire régulièrement pauses, pour limiter les risques.

(4) Varier les styles.

Comme je l’ai dit plusieurs fois, plus vous voulez être bon partout (drague de jour, drague de nuit, drague online, cercle social) et moins vous avez de chances de l’être !

  • Je suis très moyen en boîte et en bar.
  • J’ai longtemps été nul en drague en ligne, et dans mon cercle social.

Mais en à peine plus d’une vingtaine d’approches en drague de jour, je peux coucher avec une nouvelle fille.

Pendant que mes potes cherchent à rencontrer des filles un peu partout et n’importe comment, et qu’ils ont parfois besoin d’en aborder des centaines, moi je peux coucher avec une ou plusieurs nouvelles femmes tous les mois rien qu’en me baladant  dans la rue de temps en temps, et en allant faire mes courses au supermarché.

Je connais aussi un gars qui est incapable de faire une approche dans la rue, mais si on le laisse plusieurs heures dans une boîte, il ramera souvent une nana.

Bref…

C’est une mauvaise idée de ne pas se « focus » sur un mode de rencontre, au moins jusqu’à temps de devenir bon dedans.

Mais si vous ne pouvez pas faire assez d’approches en draguant uniquement dans la rue (ou ailleurs), vous DEVEZ avoir un « mode de substitution » qui vous permet d’augmenter un peu le nombre d’opportunités.

Une autre solution, si vous êtes étudiant et que vous avez besoin d’argent, c’est de trouver un job qui vous permet de rencontrer facilement des filles.  Comme barman par exemple.

Ça peut vous permettre de rencontrer des nanas facilement et d’améliorer son social proof si la ville est petite (si vous abordez une fille qui vous a déjà vu bossé derrière un bar, ça ne peut qu’augmenter vos chances de succès).

Un meilleur phone et sms game

Il n’y a pas de suite logique entre la prise de numéro et la revoyure.

Même si toutes vos rencontres sont parfaites, que vous êtes un super dragueur hyper beau gosse et qu’elles vous kiffent toutes, si votre phone game est bidon (ex. je rappelle 5 jours après et basta) vous n’allez revoir un numéro sur 10 !

Chiche : essayez et dites-moi combien de filles vous revoyez ! Je suis même prêt à parier un peu d’argent avec vous…

Le numéro, c’est du vent !

C’est l’un des plus gros « non-dits » de la communauté.

Vous pouvez payer un workshop très cher pour apprendre à prendre des numéros, sans compétences en phone game, ça ne vous mènera à rien la plupart du temps.

Vous allez prendre un peu plus de numéros, mais la plupart d’entre eux n’aboutiront à rien si vous écoutez ces coachs vous donner ces conseils standards.

Ces mecs ont oublié de préciser qu’ils vivent tous sur Paris et abordent 10 nanas par jour (en fait, il y a même un coach très populaire qui dit faire 30 approches en une heure dans le métro).

Bien sûr à cette allure-là, ils peuvent se permettre d’avoir un phone game tout pourri.

MAIS si vous n’êtes pas en mesure d’aborder 10 fois par jour, parce que vous êtes dans une ville plus petite et/ou que vous n’avez pas le temps, vous feriez mieux d’avoir un phone et sms game plus efficace.

En fait, je vais même aller plus loin en vous affirmant que dans une ville de plus petite taille, si vous n’arrivez pas à revoir au moins le quart de vos numéros, vous n’aurez jamais suffisamment de résultats : pas assez de dates et pas assez de « closeS », à moins peut être de sacrifier beaucoup de temps à draguer dans la rue !

Le secret d’un bon phone/SMS game est le suivant : FAITES-LE COMME SI VOUS VOUS OCCUPERIEZ D’UN BUSINESS.

Ne lâchez pas votre prospect !!!

Mais ne forcez jamais la vente non plus.

Je pourrais écrire un livre complet pour faire le tour du phone/sms game. Mais pour commencer, je vais vous donner quelques conseils :

  1. Organisez-vous ! Faites une liste des numéros. Créez un fichier Excel avec quelques infos qui vous semblent pertinentes, comme le prénom des nanas, quelques infos sur elles, la date de la rencontre, l’historique des fois où vous l’avez recontacté.
  2. Inspirez-vous des entreprises ! Quand elles prennent votre adresse mail ou votre numéro, elles vous envoient quelques emails ou vous rappellent assez vite pour voir si vous êtes intéressé par leur produit. Si ce n’est pas le cas, elles relanceront de temps à autre pour voir si vous êtes à présent intéressé. Parfois, c’est juste question de timing. Ce n’est pas parce qu’une fille n’est pas intéressée tout de suite qu’elle ne le sera plus jamais. Je pourrais vous faire une longue liste de filles avec lesquels j’ai couché après les avoir revues plus de 3 mois plus tard. Ne pas overgamer, mais persister, tranquillement.
  3. Suivez les conseils de mon article : 3 conseils qui vont tripler vos chances de revoir une fille.
  4. Partez du principe que chaque fille, aussi intéressée qu’elle puisse paraître, va annuler votre rendez-vous la première fois, et que ça n’a absolument rien à voir avec son niveau d’intérêt ! J’ai couché avec plein de filles qui ont annulé nos rendez-vous la première fois. Prévoyez toujours un plan B, ça  vous aidera à continuer à la jouer cool « c’est pas grave ;-), on reportera une prochaine fois ! », au lieu de vous mettre en colère. Elle appréciera la réaction.
  5. Rassurez-la entre la prise de rendez-vous et jour du rencard. Entre le moment où vous fixez le rendez-vous et où vous êtes sensé la revoir, vous êtes dans la dead zone !!! Pendant cette période, elle va réfléchir à ce qui pourrait se passer, risque de stresser un peu, se dire qu’elle ne vous connaît pas assez et trouver 1001 bonnes excuses pour annuler votre rendez-vous. C’est la période où vous devez faire un peu plus d’effort pour créer du confort par SMS ou par téléphone, au lieu de jouer au mec distant.

Conclusion

Variez les lieux, les horaires et les périodes de drague.

Éventuellement, utilisez un autre mode de drague pour rencontrer davantage de nanas (par exemple, internet en hiver est sympa) et organisez bien votre phone/SMS game pour revoir au moins un quart de vos numéros.

Ainsi, vous pourrez avoir de bon résultats sans vous faire griller, même dans une ville qui ne comptent pas un très grand nombre d’habitants.

Cela demande un peu d’intelligence et de pratique, mais c’est possible.

Bonne réussite,

Chrys

À propos Chrys

Je suis l’auteur de plus de 350 articles sur la séduction. Je donne aussi des coachings et des consultations sur la drague en journée, la séduction et la gestion de relations.

16 plusieurs commentaires

  1. Je suis sur que même a Paris je me ferais griller vers un moment 😀

  2. Moi j’me fais grillé à chaque tentative, pourtant j’suis pas moche du tout. Ça serai cool un exemple de conversation

  3. Je penses que c’est un faux problème les petites villes. Au contraire, les dragueurs habitant dans ces « endroits » peuvent jouir d’une concurrence beaucoup moins importante que si ils étaient à Paris, Lyon ou Marseille. Par conséquent, sortir du lot devient beaucoup plus facile, car dans une petite ville, la fille peut au maximum, si elle est belle se faire aborder 1 ou 2 fois par jour mais dans une grande ville, le ratio peut être multiplié par 5 au minimum…

  4. A tous : vu que nous pratiquons très régulièrement Chrys et moi (y compris en ce moment) je vous CERTIFIE que Chrys cible parfaitement juste dans son conseil n°1 : variez les spots de drague, les horaires et les périodes. C’est ce que nous faisons presque naturellement tous les deux sans se consulter.

    Pour ce qui est des petites villes : la seule différence est qu’il vous faudra faire encore plus attention à VARIER votre mode opératoire. Attention en petite zone urbaine : ne gaspillez pas votre temps à arpentez les rues ou les galeries les plus fréquentées de la ville sans être PRÊT à approcher une nana, sinon vous vous grillerez plus vite sans avoir rien tenté. Ce serait dommage messieurs…

    Je sarge à Paris depuis 2006 et je n’ai en tout et pour tout comme souvenir que 3 nanas que j’ai re-approché.

  5. @Karim : Les filles ne se font pas abordées dans la rue. 😉 Y a que nous qui le faisons.^^

    J’aimerais ajouter en plus que normalement un bon dragueur ne passe PAS pour un dragueur.

    1. On a juste une conversation normale avec la fille même si on montre notre intérêt (primordial).
    2. Quand je vois quelqu’un qui va parler à quelqu’un d’autre dans la rue/magasin/transports, je suppose automatiquement que ces 2 personnes se connaissent déjà. C’est sûrement ce que pensent 99.9% des personnes.

  6. Personnellement je cible les occasions, et je fais beaucoup de contextuel car je penses que arrêter les filles dans la rue a plus de chance d’ échouer et de griller plus vite mes chances dans une petite ville. Qu’en penses- tu ?

    • Ça dépend de combien d’approche tu peux faire, en combien de temps, et comment tu fais ton « contextuel ».

      – Si tu abordes 3 filles par semaine c’est trop peu, surtout si tu y passes plusieurs heures. Avoir du résultat demande un certain nombre d’approche, surtout si tu débutes.
      – ton contextuel doit être direct. Être direct ne signifie pas nécessairement aborder avec un compliment, c’est principalement démarrer la conversation sans cacher son intérêt. Si tu fais un commentaire et part sur une interaction sociale/amicale, tu n’obtiendras rien ! Pour paraphraser Cornélius « Celui qui sème l’amitié récolte l’amitié ».

      Dans quelle ville es-tu ?

  7. J’habite à Genève en Suisse, une ville de 200’000 habitants environ. j’aborde depuis 1 an et depuis 6 mois en contextuel. je fais 3 approches par jour en moyenne, j’ai eu quelques resultats 2 FC, 6 dates environ. Les 6 premiers mois je faisaient que des Directgame, filles pressés, filles posés, etc …

    Maintenant souvent, je fais une remarque contextuel et je passe en directe les 30 premières seconde.

    • -> Maintenant souvent, je fais une remarque contextuel et je passe en directe les 30 premières seconde.
      Tout type d’opener peut être bon, à condition que la deuxième chose que l’on dit/fais comprendre, c’est « tu me plais » et qu’on fait la transition vite vers du rapport et prise de numéro. Le pure direct game, comme dire tout de suite pourquoi on vient lui parler (parce que tu me plais), c’est surtout très utile pour les filles qui marchent, parce que tu retires l’ambiguité « pourquoi il m’arrête ce mec ». C’est un genre d’opener passe-partout qui reste AMHA le plus efficace avec les filles intéressées (qui sont les filles avec lesquelles la séduction se joue vraiment). Mais dans certains contextes, ça peut être mieux de faire un genre de test de compliance en passant par un opener indirect pour voir sa réceptivité.

      Si tu peux faire 3 opens par jour sans y passer tout l’aprem, alors c’est rentable. ça fait 90 opens par mois, c’est énorme pour une petite ville.

  8. Qu’est-ce que vous entendez par  » se faire griller  » ?

  9. Se griller = trainer une réputation de gros dragueur dans une fille à force de ré-aborder plusieurs fois les mêmes fille, ou plusieurs filles différentes qui se connaissent par exemple. Ou encore aborder plusieurs fois devant un groupe de personnes…

    Si la ville est petit et qu’on aborde beaucoup sans varier, on s’expose à un tas de risques dont on a pas nécessairement conscience… ex : plusieurs filles que vient de rencontrer et qui font le lien, des lascars qui viennent te voir pendant que tu es en rendez-vous et disent « hé, c’est toi le mecs qui aborde tout le temps, etc » (n’est-ce pas Abdou ^^). Ou pire : aborder la cousine et la meilleure amie de sa copine (et non, je n’en suis pas très fier !).

    • Lol chris! Hier on est sorti faire du spu et spu night et j’ai abordé au moins 6 filles que j’avais déjà abordé ahaha j’ai niqué le field

  10. Bonjour,

    Encore moi. J’habite Paris donc pas une petite ville, mais je me demande si je dois draguer près de mon logement, ou m’en éloigner un peu pour éviter de croiser les mêmes personnes ?

    • Logiquement, ça dépend si le cartier est populaire/fréquenté ou pas.

      Si tu vis à dans un cartier fréquenté pour divers raisons (shopping/bars/tourisme/…) comme Châtelet par exemple, tu peux sans doute aborder juste à côté de chez toi sans trop de risque. La plupart des gens qui fréquentent les lieux sont simplement de passage.

      Si tu vis dans un cartier plus calme, que personne n’a de raison de fréquenté hormis les riverains, c’est probablement plus dangereux…

      Mais comme dit Tiger, même à paris, si tu abuses trop d’un endroit, tu peux recroiser les mêmes cibles. Ça m’est moi-même arrivé à paris (alors que j’y drague très peu), il y a quelques mois… C’est dire ! Donc toujours penser à VARIER 😉

  11. Aborder des groupes en Spu night ou en bar régulièrement va t-il nous griller plus vite ? étant donne qu’à chaque approche on aborde minimum 2 ou 3 filles ! De plus un pote à moi avec qui je pratique le Spu revoit des filles qu’il a nc en Spu dans ses environnements de night (bar) Donc réaborder une fille avec son groupe que l’on a déjà abordé n’est pas trés bon je pense !

    • Je ne fais pas beaucoup de SPU night/bar, donc je ne peux pas te dire. Du peu d’observation que j’ai pu faire, j’ai constaté que la population Bar/night était très différentes que celles du SPU. Autrement dit, si tu abordes une fille dans la rue, tu as plus de chance de la revoir dans la rue que dans une boite (et vice versa), mais bien sûr, il y des exceptions (les filles de la rue vont parfois en boite, et les filles des boites empruntent forcément les rues…).

      Si tu vas en BPU, tu es obligé d’abordé des sets, mais tu ne reverras pas chacune d’elle en street je pense. Mais si c’est le cas, alors focalise-toi sur un seul mode de drague : celui qui a le plus de chance de te rapporter des résultats. Depuis 8 ans je ne fais presque QUE du SPU (seulement 2 fcloses en BPU) et ça m’a mieux réussi qu’à tous mes amis de la communauté qui font tout (SPU, net, bpu…)

Laisser une réponse

Votre adresse email ne sera pas publiéeLes champs requis sont surlignés *

*


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.